Notre diffuseur (Caravelle, le plus gros de Belgique) ne commencera à travailler avec nous qu'à partir de janvier 2008. Ce serait dommage pour tous ceux qui veulent acheter Divin quotidien pendant la période des fêtes. Nous faisons donc du porte-à-porte afin d'en assurer une diffusion immédiatement.
On peut tout d'abord acheter le livre sur internet, via Rézolibre.
Mais si vous voulez éviter le port, ou que vous habitez Bruxelles ou pas loin, vous avez la possibilité d'aller dans une librairie. Cette liste va bien entendu grossir chaque jour.
Attention ! Nous ne serons pas à la FNAC ni à Club avant janvier (et encore, c'est pas gagné !)
L'univers particulier au 194, chaussée de Charleroi à St Gilles (à l'angle avec la rue américaine)
Librairie UOPC au 14-16, av. Demey (coin avec Bld du Souverain au pied du pont de la E411)
A livre ouvert - le rat conteur au 116, rue St Lambert (rue qui relie la place St Lambert et le Shopping Woluwe)
Librairie de Rome au 50, av. Louise (au coin avec la Place Stéphanie)
Filigranes au 39-40 av. des arts (entre Belliard et Loi)
Libris au 40-42 av. de la Toison d'Or (Galerie Louise)
Press-shop au 7-9, Place Dumon (Stockel)
Librairie 1992 au 143, rue Froissart (à 10 mètres du Rond-Point Schuman)
Nouveau : Divin quotidien est déjà en vente en dehors de Bruxelles :
Librairie des 3 colonnes au 4, chaussée de Bruxelles à La Hulpe (carrefour des 3 colonnes)
Librairie Once Upon A Time au 21, Place communale à Linkebeek
Divin quotidien est aussi disponible dans certains magasins à Bruxelles :
BioLogic au 143, avenue de Roodebeek à Schaerbeek (près du viaduc qui va à la Place Meiser)
Bioflore au 144, chaussée de Charleroi à St Gilles (près de la place Paul-Emile Janson)
Tan au 95, rue de l'Aqueduc à Ixelles (près de la place du Châtelain)Sequoia Stockel au 101, rue de l'Eglise (près de la Place Dumont)Sequoia Uccle au 532, chaussée de St Job (près de la Place St Job)
Le Pain quotidien Stockel au 6, av. Hinnisdael (face au ciné le Stockel, à deux pas de la Place Dumont)
Lorette au 47 av. Michel Ange (au coin avec la rue Franklin, à 100m du Berlaymont)
Vu que nous n'avons pas encore de diffuseur français, il n'y a qu' une seule librairie en France où le livre est disponible, là où je suis né : Librairie Robin au 37, rue de l'Hôtel de Ville à 63200 Riom (tél: 04 73 38 21 47).
samedi 22 décembre 2007
samedi 15 décembre 2007
Divin quotidien à [Planet attitude]
Un petit mél de dernière minute, un coup de fil, et hop ! Je participerai à la Table ronde "Ils ont changé le monde" ce dimanche 16 décembre à 16h30 dans le cadre du Salon du développement durable à Tour & Taxis (16-17 décembre 2007). J'y parlerai de l'aventure de Divin quotidien, qui est né d'une question que je me suis posée après l'élection de George W. Bush à la présidence des Etats-Unis : "Et moi, que puis-je faire, à mon échelle, pour rendre ce monde un peu plus vivable ?".
Je n'ai pas changé le monde entier, certes, mais j'ai agi et semé des graines. Et à mon échelle, j'ai changé le monde, car je le vois différemment. J'y vois plein d'amour et de beauté, j'y vois de l'énergie, de la lumière, de la compassion. Sans psychotropes, sans fariboles. Et j'ai l'impression d'y être pour quelque chose. Parce que c'est moi qui le vois, et depuis que j'en ai conscience, ça change tout : je peux agir concrètement sur mon environnement. Merci et encore merci à tous les gens que je côtoie ou que je rencontre, d'exister, tout simplement, et de faire de mes journées de si bon moments qui me donnent ce sentiment de richesse, de plénitude. Et de me permettre de donner, donner, donner sans compter. Plus je donne, plus je me sens riche, et plus les miracles arrivent, si nombreux. Oh ! quelle belle vie, vivement demain, ce soir, la prochaine seconde qui viendra avec tant de bonnes choses.
Expérience
Ce soir, j'ai encore démontré à une amie que le plus petit changement dans ce monde change le monde. Il n'y a pas besoin d'opérer un changement à l'échelle planétaire pour changer le monde. Il suffit de changer un petit quelque chose, en soi ou autour de soi, et le monde sera différent.
Pour le démontrer, j'utilise un matériel très simple : une feuille de papier opaque, noire de préférence, une aiguille et une source de lumière. Placez tout d'abord la feuille opaque entre la source de lumière et vos yeux. Résultat : vous ne pouvez voir la lumière, de quelque manière que ce soit, car la feuille est opaque. Percez ensuite un minuscule trou dans la feuille grâce à l'aiguille, puis placez la feuille entre vos yeux et la source de lumière. Résultat : un petit rayon de lumière passe au travers de la feuille. Elle n'est donc plus opaque. Un minuscule petit trou de rien du tout lui a fait perdre son caractère opaque.
Le monde, c'est pareil : le plus minuscule changement fait qu'il n'est plus le même. Et nous avons tous le pouvoir de changer le monde. Pourquoi vouloir le bouleverser complètement ? Chaque chose en son temps, on ne change pas du tout au tout du jour au lendemain. Commencez par percer un petit trou d'aiguille dans la feuille opaque et apportez vous aussi un petit changement pour que jaillisse la lumière. Et on verra bien ce qui arrivera, en tout cas ce ne sera plus pareil qu'avant.
mercredi 14 novembre 2007
Relations et jeux de pouvoir
Un livre de Jean-Jacques Crèvecoeur - ed. Jouvence - ISBN 2-88353-192-7
Ce livre démonte les mécanismes des jeux de pouvoirs dans les relations avec l'entourage. C'est le niveau zéro de la spiritualité mais il faut bien commencer quelque part ! Faire le ménage et nettoyer ses modes de relations avant d'entamer un voyage plus profond. Non que les mécanismes mis en lumière ne sont pas profonds, mais on reste ici au niveau du relationnel. C'est le B-A BA, expliqué très simplement, sans termes psychologiques compliqués, sans pseudo-spiritualité. On est dans le concret, tout est décortiqué, par étapes, avec des schémas, des petits dessins humoristiques et surtout des exemples très simples et très vraisemblables. On est à cent lieues de l'analyse transactionnelle et de la psychologie ou de la psychanalyse. C'est au lecteur de se demander pourquoi il se comporte de telle ou de telle façon. En tout cas, il n'y a pas une situation vécue qui ne se retrouve pas à un moment ou à un autre dans ce bouquin. On reconnaît beaucoup de monde, y compris soi-même. En cette époque de manipulation à grande échelle (est-ce bien nouveau, en fin de compte ?), un bouquin qui peut contribuer à assainir la situation, à commencer par soi. Au moins, on ne pourra pas dire qu'on ne savait pas, après l'avoir lu.
Ce livre démonte les mécanismes des jeux de pouvoirs dans les relations avec l'entourage. C'est le niveau zéro de la spiritualité mais il faut bien commencer quelque part ! Faire le ménage et nettoyer ses modes de relations avant d'entamer un voyage plus profond. Non que les mécanismes mis en lumière ne sont pas profonds, mais on reste ici au niveau du relationnel. C'est le B-A BA, expliqué très simplement, sans termes psychologiques compliqués, sans pseudo-spiritualité. On est dans le concret, tout est décortiqué, par étapes, avec des schémas, des petits dessins humoristiques et surtout des exemples très simples et très vraisemblables. On est à cent lieues de l'analyse transactionnelle et de la psychologie ou de la psychanalyse. C'est au lecteur de se demander pourquoi il se comporte de telle ou de telle façon. En tout cas, il n'y a pas une situation vécue qui ne se retrouve pas à un moment ou à un autre dans ce bouquin. On reconnaît beaucoup de monde, y compris soi-même. En cette époque de manipulation à grande échelle (est-ce bien nouveau, en fin de compte ?), un bouquin qui peut contribuer à assainir la situation, à commencer par soi. Au moins, on ne pourra pas dire qu'on ne savait pas, après l'avoir lu.
mardi 6 novembre 2007
En vente sur le net !
Et c'est parti ! Divin Quotidien est en vente sur internet via Rézolibre, l'amazone des petits éditeurs indépendants. Et petite nouvelle symbolique, mon éditeur m'a fièrement annoncé que nous avions déjà une commande de France. Ah ! heureux internaute qui peut se procurer un livre qui n'est pas encore en librairie.
Pas encore ? Pour ce qui est de la France, ça, il est clair que cette étape est encore loin. Mais pour ce qui est de la Belgique, nous sommes bientôt sur les étals des libraires (allez, rêvons un peu !) car nous avons trouvé un grand diffuseur.
Il ne nous reste plus qu'à faire la promotion du livre, ce qui semble une tâche himalayesque, car nous ne sommes ni grands ni connus. Alors si vous avez aimé le livre, faites-le connaître autour de vous, et si vous connaissez un critique littéraire, faites-nous parvenir son adresse et votre critique, nous les lui enverrons avec nos compliments.
Ce livre, les premières réactions l'attestent, vous l'aimez car il vous touche, parfois très intimement. Mais il ne pourra suivre son destin de best-seller (si si, il faut rêver, ça ne coûte rien !) que si le bouche à oreille fonctionne. En tout cas, il se vend comme des petits pains en direct et certains en ont même acheté en quantité pour les offrir - Noël approche et des cadeaux à 8,80 euros, ça ne court pas les rues. Autant de graines d'amour semées dans notre entourage.
vendredi 2 novembre 2007
Ce qu'on peut faire pour le Liban
Voici un texte que j'ai écrit le 26 juillet 2006, peu après qu'une nouvelle guerre a éclaté au Liban.
Dénoncer, militer, donner ou manifester pour la Paix au Liban - ou ailleurs - est certes tout à fait louable. Mais cela demande un niveau d’engagement dont seuls peuvent se prévaloir une poignée de gens touchés de très près par cette tragédie ou ceux en quête d’une « croisade » de plus. Pour les autres, l’immensité de la population, la distance physique et psychologique avec le conflit est telle, que chacun se sent impuissant. « Mais moi, ici, qu’est-ce que je peux faire pour le Liban ? ».
Oui, que puis-je faire, moi, simple citoyen, simple être humain, pour que cessent les guerres, l’injustice, l’asservissement de populations par d’autres populations ou parfois par une petite « élite » qui détient le pouvoir absolu ? Que faire pour que cesse la violence dans le monde, la destruction de l’environnement, le pouvoir absolu de l’argent sur tout le reste, la souffrance des plus faibles et des plus démunis ? Bref, comment rendre ce monde meilleur, à coup sûr ?
La solution est là, pourtant, devant le nez de chacun d’entre nous. Oui, tout est là. C’est frappant comme les gens sont presbytes (ils ne voient pas de près), voire aveugles, quand de tels événements éclatent. La première chose à comprendre, est que tout ce qui arrive, que ce soit au niveau cosmique, planétaire, personnel, microscopique ou quantique, peut être porté à un niveau différent, car c’est le même événement. Un peu comme l’agrandissement ou la réduction de la même image. Tout est métaphore, en somme. La seconde chose, c’est que tout ce qui nous touche a du sens. C’est-à-dire que non seulement rien ne nous arrive par hasard, mais que chaque événement, même distant en apparence, signifie quelque chose pour nous-mêmes, au niveau personnel, si l’information nous touche un tant soit peu.
Le conflit au Liban est donc la métaphore de nos relations les uns entre les autres, à un niveau « local ». Mais c’est aussi la métaphore de notre relation avec nous-mêmes, à un niveau plus personnel, etc. La clé, pour revenir à notre sujet, c’est qu’en agissant à un niveau, on agit sur tous les autres… puisque c’est la même chose. En d’autres termes, tout ce que je peux faire pour résoudre les problèmes de violence à mon niveau, permettront de résoudre les problèmes de violence dans le monde. Vision purement théorique et utopique, diront certains ? Dans l’absolu, si chacun des être humains était engagé pour la paix, il n’y aurait pas de guerre sur Terre, non ?
Mais examinons cela d’un point de vue concret, pratique. N’avez-vous jamais insulté quelqu’un qui vous a provoqué ou fait du mal ? Au Proche-Orient, les gouvernements de la région font des déclarations plus belliqueuses les unes que les autres. N’avez-vous jamais eu envie de « casser la gueule » à quelqu’un qui, vraiment, est allé un peu trop loin dans l’agression ? Au Proche-Orient, des foules entières sont manipulées pour aller faire la guerre à ceux d’en face. N’avez-vous jamais jugé quelqu’un qui était un peu trop différent de vous ? Au Proche-Orient, on se hait les uns les autres sur la base de la religion. N’avez-vous jamais eu envie de vous venger d’une agression, quand le moment sera propice ? Au Proche-Orient, c’est l’escalade de la violence. N’avez-vous jamais eu des relations exécrables avec un collègue ou un membre de votre famille durant des années ? Le Proche-Orient est en guerre depuis une quarantaine d’années. J’arrête là, car les métaphores sont évidentes.
Oui, mais même si on « balaye devant chez soi », si on fait la paix avec ses relations de famille de travail ou de voisinage, quel effet cela aura-t-il sur le Liban ? Il est mécanique, comme un levier. Regardons juste où va notre argent, où va l’argent mondial, quels sont les plus gros budgets : l’énergie, les armes, la drogue et les médicaments. Les dépenses mondiales dans ces quatre postes représentent la plupart des dépenses mondiales, et cela se chiffre en milliers de milliards par an. Là encore, la métaphore est évidente, et la relation concrète encore plus.
L’énergie sert à faire fonctionner les machines (le corps humain en est une). Moins une machine a de besoins, moins elle utilise d’énergie. Que d’énergie gaspillons-nous dans nos tracasseries, nos tricheries, nos conflits. Pour compenser, il nous faut nous agiter, mobiliser nos pensées… pour rien en fait. Quelqu’un en paix avec son entourage et son environnement n’a pas besoin de beaucoup d’énergie (de besoins). Tout est calme, loin de l’agitation du monde.
Les armes, c’est la métaphore du besoin de protection. Nous avons peur, il faut absolument nous protéger de nos ennemis. L’autre est supposé être dangereux. De toute façon, quelqu’un l’a dit. Les élites au pouvoir utilisent la peur comme moyen de tenir leur population, il n’y a même pas besoin de lire entre les lignes.
La drogue, c’est la métaphore de la négation de la réalité. On a besoin d’avoir l’esprit ailleurs ou endormi pour ne pas affronter la réalité. Et on a surtout besoin de compenser les terribles vicissitudes de la vie. Et on en est dépendant, ce qui évite de remettre quoi que ce soit en question. Dans les drogues, on ne trouve pas que le cannabis ou les narcotiques, mais bien l’alcool, le sucre, le show business (télé, musique et ciné de masse), la pornographie, les jeux vidéos, le tourisme et le sport de masse. Tiens, ça ressemble à la liste des plus grosses dépenses de notre société de consommation !
Les médicaments, c’est aussi une drogue, mais c’est clairement la recherche de la facilité. Un bobo et hop ! une pilule. Une contrariété et hop ! une autre pilule. Tout ce qui nous arrive a du sens, même une maladie ou une douleur. Les médicaments évitent d’aller plus loin dans l’affrontement de la réalité. Ils nous coupent de la vie elle-même en fait, puisqu’ils nous maintiennent dans une réalité virtuelle (comme la drogue) ou « tout va bien ». Jusqu’à la prochaine fois où on aura mal.
Pour en revenir à la relation concrète entre ces quatre postes budgétaires et le conflit au Proche-Orient, il est bon de se poser la question : « qu’est-ce que je peux faire, moi, ici ? ». Réduire ses besoins, s’ouvrir aux autres et arrêter de se laisser gagner par la peur, arrêter les drogues (voir liste) et affronter la douleur. En d’autres termes : s’éveiller. On n’y arrive pas du jour au lendemain. La désintoxication peut prendre du temps, mais l’important, c’est d’être sur le chemin. Chacun, à son niveau, peut apporter sa pierre pour dégonfler les dépenses mondiales dans l’énergie, les armes, la drogue et les médicaments. Car c’est ce système-là qui entretient des conflits tels que ceux au Proche-Orient.
L’argent existe. Il pourrait aller ailleurs : vers l’éducation, l’environnement, la culture. La Paix, en d’autre terme. Pour changer le monde, commencez par changer vous-mêmes. Et vous ferez beaucoup, beaucoup pour le Liban.
Oui, que puis-je faire, moi, simple citoyen, simple être humain, pour que cessent les guerres, l’injustice, l’asservissement de populations par d’autres populations ou parfois par une petite « élite » qui détient le pouvoir absolu ? Que faire pour que cesse la violence dans le monde, la destruction de l’environnement, le pouvoir absolu de l’argent sur tout le reste, la souffrance des plus faibles et des plus démunis ? Bref, comment rendre ce monde meilleur, à coup sûr ?
La solution est là, pourtant, devant le nez de chacun d’entre nous. Oui, tout est là. C’est frappant comme les gens sont presbytes (ils ne voient pas de près), voire aveugles, quand de tels événements éclatent. La première chose à comprendre, est que tout ce qui arrive, que ce soit au niveau cosmique, planétaire, personnel, microscopique ou quantique, peut être porté à un niveau différent, car c’est le même événement. Un peu comme l’agrandissement ou la réduction de la même image. Tout est métaphore, en somme. La seconde chose, c’est que tout ce qui nous touche a du sens. C’est-à-dire que non seulement rien ne nous arrive par hasard, mais que chaque événement, même distant en apparence, signifie quelque chose pour nous-mêmes, au niveau personnel, si l’information nous touche un tant soit peu.
Le conflit au Liban est donc la métaphore de nos relations les uns entre les autres, à un niveau « local ». Mais c’est aussi la métaphore de notre relation avec nous-mêmes, à un niveau plus personnel, etc. La clé, pour revenir à notre sujet, c’est qu’en agissant à un niveau, on agit sur tous les autres… puisque c’est la même chose. En d’autres termes, tout ce que je peux faire pour résoudre les problèmes de violence à mon niveau, permettront de résoudre les problèmes de violence dans le monde. Vision purement théorique et utopique, diront certains ? Dans l’absolu, si chacun des être humains était engagé pour la paix, il n’y aurait pas de guerre sur Terre, non ?
Mais examinons cela d’un point de vue concret, pratique. N’avez-vous jamais insulté quelqu’un qui vous a provoqué ou fait du mal ? Au Proche-Orient, les gouvernements de la région font des déclarations plus belliqueuses les unes que les autres. N’avez-vous jamais eu envie de « casser la gueule » à quelqu’un qui, vraiment, est allé un peu trop loin dans l’agression ? Au Proche-Orient, des foules entières sont manipulées pour aller faire la guerre à ceux d’en face. N’avez-vous jamais jugé quelqu’un qui était un peu trop différent de vous ? Au Proche-Orient, on se hait les uns les autres sur la base de la religion. N’avez-vous jamais eu envie de vous venger d’une agression, quand le moment sera propice ? Au Proche-Orient, c’est l’escalade de la violence. N’avez-vous jamais eu des relations exécrables avec un collègue ou un membre de votre famille durant des années ? Le Proche-Orient est en guerre depuis une quarantaine d’années. J’arrête là, car les métaphores sont évidentes.
Oui, mais même si on « balaye devant chez soi », si on fait la paix avec ses relations de famille de travail ou de voisinage, quel effet cela aura-t-il sur le Liban ? Il est mécanique, comme un levier. Regardons juste où va notre argent, où va l’argent mondial, quels sont les plus gros budgets : l’énergie, les armes, la drogue et les médicaments. Les dépenses mondiales dans ces quatre postes représentent la plupart des dépenses mondiales, et cela se chiffre en milliers de milliards par an. Là encore, la métaphore est évidente, et la relation concrète encore plus.
L’énergie sert à faire fonctionner les machines (le corps humain en est une). Moins une machine a de besoins, moins elle utilise d’énergie. Que d’énergie gaspillons-nous dans nos tracasseries, nos tricheries, nos conflits. Pour compenser, il nous faut nous agiter, mobiliser nos pensées… pour rien en fait. Quelqu’un en paix avec son entourage et son environnement n’a pas besoin de beaucoup d’énergie (de besoins). Tout est calme, loin de l’agitation du monde.
Les armes, c’est la métaphore du besoin de protection. Nous avons peur, il faut absolument nous protéger de nos ennemis. L’autre est supposé être dangereux. De toute façon, quelqu’un l’a dit. Les élites au pouvoir utilisent la peur comme moyen de tenir leur population, il n’y a même pas besoin de lire entre les lignes.
La drogue, c’est la métaphore de la négation de la réalité. On a besoin d’avoir l’esprit ailleurs ou endormi pour ne pas affronter la réalité. Et on a surtout besoin de compenser les terribles vicissitudes de la vie. Et on en est dépendant, ce qui évite de remettre quoi que ce soit en question. Dans les drogues, on ne trouve pas que le cannabis ou les narcotiques, mais bien l’alcool, le sucre, le show business (télé, musique et ciné de masse), la pornographie, les jeux vidéos, le tourisme et le sport de masse. Tiens, ça ressemble à la liste des plus grosses dépenses de notre société de consommation !
Les médicaments, c’est aussi une drogue, mais c’est clairement la recherche de la facilité. Un bobo et hop ! une pilule. Une contrariété et hop ! une autre pilule. Tout ce qui nous arrive a du sens, même une maladie ou une douleur. Les médicaments évitent d’aller plus loin dans l’affrontement de la réalité. Ils nous coupent de la vie elle-même en fait, puisqu’ils nous maintiennent dans une réalité virtuelle (comme la drogue) ou « tout va bien ». Jusqu’à la prochaine fois où on aura mal.
Pour en revenir à la relation concrète entre ces quatre postes budgétaires et le conflit au Proche-Orient, il est bon de se poser la question : « qu’est-ce que je peux faire, moi, ici ? ». Réduire ses besoins, s’ouvrir aux autres et arrêter de se laisser gagner par la peur, arrêter les drogues (voir liste) et affronter la douleur. En d’autres termes : s’éveiller. On n’y arrive pas du jour au lendemain. La désintoxication peut prendre du temps, mais l’important, c’est d’être sur le chemin. Chacun, à son niveau, peut apporter sa pierre pour dégonfler les dépenses mondiales dans l’énergie, les armes, la drogue et les médicaments. Car c’est ce système-là qui entretient des conflits tels que ceux au Proche-Orient.
L’argent existe. Il pourrait aller ailleurs : vers l’éducation, l’environnement, la culture. La Paix, en d’autre terme. Pour changer le monde, commencez par changer vous-mêmes. Et vous ferez beaucoup, beaucoup pour le Liban.
mardi 4 septembre 2007
Il est né le Divin Quotidien !
Et voilà, tout beau tout neuf, le book est là, bien sagement rangé dans ses petites caisses en carton de 75 de chaque. Deux mille cinq cents divisés par 75, ça fait dans les 33 caisses. Allez, tout doit disparaître ! Déjà quelques ventes : Agnès m'en a pris dix pour faire des cadeaux de Noël à toute sa famille, des inconnus abordés dans les stands lors du Salon Valériane à Namur m'en ont pris deux. Une copine m'en a recommandé un après l'avoir fait lire à une amie. Appoline a déjà réservé les siens.
Et puis, il y a les librairies à démarcher. Sur ce blog, on saura bientôt où le trouver (d'abord en Belgique). J'ai déjà démarché l'Univers Particulier (angle chaussée de Charleroi et rue Américaine, face au Brico) et Séquoia (magasin bio à Uccle, Stockel, Namur...). Réponse rapidement pour savoir si le book sera dans leurs étals. BioLogic va le proposer à la vente, ça, c'est déjà sûr. Reste à trouver des présentoirs.
Il est beau, le book, et il ne coûte que 8 euros 80 ! Il est en vente dès maintenant partout... dans ma maison. Si vous l'aimez, faites-le savoir autour de vous. Si vous ne l'aimez pas, faites-le moi savoir, on est ici pour en débattre. Mais qu'il connaisse le succès ou pas, cela n'a aucune importance, j'accueillerai tout ce qui se présentera. I did it, c'est ça qui compte, d'aller jusqu'au bout de ses rêves, de ses idées et de son désir.
Pour commencer, on va se faire une bouffe, toute l'équipe qui l'a réalisé : mon graphiste André-Yves Coenderaet de Contraste [Stimulateur d'identité], mon producteur André Pakulski (maquette, impression, reliure), mon illustratrice Anne-Françoise Jadin, et mon bien-aimé éditeur Paul Cartuyvels (Laetoli).
jeudi 30 août 2007
Vacances
Curieusement, c'est lors du passage à la nouvelle année que les gens prennent symboliquement de «bonnes résolutions»... qu’ils ne tiendront sans doute pas longtemps. Alors que l'été est justement la saison la plus propice aux changements.
Partir, prendre son temps, être avec ceux qu'on aime plus longtemps, «en profiter», s'amuser, danser, boire, bien manger, rire, passer ses soirées à discuter, aller retrouver les siens, se prendre à rêver, faire des grasses matinées, voyager et connaître d'autres cultures, laisser de côté son portable, dépenser sans compter, faire de nouvelles connaissances, fabriquer un enfant, prendre soin de son corps, s'offrir des folies, être en contact avec la nature, ne plus travailler : c'est le paradis ? Non, seulement les vacances.
Il y a bien un petit quelque chose qu'on aimerait ramener, et conserver. Pas un bibelot, non, ce peut être le souvenir d'une rencontre, d'une émotion forte, ou tout simplement d'une sensation d'éternité et de bien-être qu'on a rarement ressentie. Et si ce souvenir-là, on le gardait avec soi ? Tout au fond de son cœur, comme un trésor qui irradie dans tout le corps et l'esprit pour le reste de la vie.
C’est quand on se retrouve qu’on a la lucidité nécessaire pour savoir ce qu’on aime vraiment. C’est à ce moment-là que naissent naturellement les véritables résolutions, celles qui tiendront sans effort, pour toujours. Le plus beau voyage qu'on puisse faire, mais aussi le plus périlleux, c'est vers soi-même, a dit un grand couturier français. Qu'est-ce qu'on attend pour partir ?
Extrait de Divin Quotidien
dimanche 26 août 2007
Les enfants du Verseau
Un livre de Marilyn Ferguson - ed. J'ai Lu coll. Aventure secrète - ISBN 2-277-24029-x
Mais que s'est-il passé depuis janvier 1980, quand a été achevé ce "best seller new age" ? Il décrit dans les détails toutes les forces humaines à l'oeuvre dans le monde (mais surtout aux Etats-Unis et en Europe) pour un changement de paradigme, c'est-à-dire pour une autre approche de la vie et de l'humanité, à l'opposé du fric-roi et de l'épuisement aveugle des ressources de notre planète. Un monde fait de respect, d'amour, d'écoute et de (réel) progrès. A croire l'auteure, journaliste et psychologue, tout était en place pour ce changement de paradigme lorsqu'elle a écrit ce livre, il y a 27 ans. Il faut croire que le grand capital, les médias de masse et le lobbying industriel ont eu raison de tous les empêcheurs de s'enrichir en rond, car on pourrait faire le même constat aujourd'hui. La nébuleuse alter (écologistes, médecines parallèles, éducation inconoclaste, altermondialistes, spiritualités, psys, artistes, ...) est bel et bien présente, face à l'abrutissement généralisé (télé-trash, politique-spectacle, malbouffe, show-business, médicaments) et à la manipulation des masses (guerres, terrorisme international, publicité, théories économiques fumeuses, scientisme, paupérisation généralisée, nationalismes, culte des personnalités). Qui va gagner ? Un bouquin qui fait beaucoup de bien, pour ceux qui résistent et qui se sentent un peu seuls. Lisez, c'est incroyablement actuel. Peut-être vous reconnaîtrez-vous. Et vous verrez alors qu'autour de vous, il y a plein de conspirateurs du Verseau (vraie traduction des enfants du Verseau) : des gens qui veulent changer le monde et qui commencent par eux-mêmes. Des gens éveillés qui ne croient pas à la religion planétaire de la croissance à tout prix.
mercredi 22 août 2007
Quand la conscience s'éveille
Un livre d'Anthony de Mello - ed. Albin Michel coll. Espaces libres - ISBN 2-226-11667-2
Le genre de livre qu'on aime retrouver dès que possible tant ses paroles font du bien, un peu comme une caresse, comme si on se faisait prendre dans des bras aimants. Ce prêtre jésuite indien (!) est aussi animateur de retraites spirituelles, et le style d'écriture est plutôt celui de la retranscription de discours. émaillé de petites histoires courtes ou de paraboles pleines d'enseignement, l'auteur cherche à bousculer le lecteur, à l'obliger à chaque fois à remettre ses certitudes sur le plan de travail. La sagesse est au bout du chemin, et il est long le chemin ! La "conscience"d'Anthony de Mello, c'est le "sentir" de Luis Ansa, le "détachement" de Deepak Choprah. Ils parlent tous de la même chose: aimer véritablement, sans juger, et se laisser aller à la vie, sans contrôler. Un livre à lire, à relire encore et encore pour un jour peut-être, ouvrir sa conscience et exister vraiment.
Le genre de livre qu'on aime retrouver dès que possible tant ses paroles font du bien, un peu comme une caresse, comme si on se faisait prendre dans des bras aimants. Ce prêtre jésuite indien (!) est aussi animateur de retraites spirituelles, et le style d'écriture est plutôt celui de la retranscription de discours. émaillé de petites histoires courtes ou de paraboles pleines d'enseignement, l'auteur cherche à bousculer le lecteur, à l'obliger à chaque fois à remettre ses certitudes sur le plan de travail. La sagesse est au bout du chemin, et il est long le chemin ! La "conscience"d'Anthony de Mello, c'est le "sentir" de Luis Ansa, le "détachement" de Deepak Choprah. Ils parlent tous de la même chose: aimer véritablement, sans juger, et se laisser aller à la vie, sans contrôler. Un livre à lire, à relire encore et encore pour un jour peut-être, ouvrir sa conscience et exister vraiment.
mardi 21 août 2007
Bienvenue dans un monde meilleur !
J’ai souvent été confronté, comme tout un chacun, à des émotions, tantôt agréables, tantôt désagréables, au gré des événements et des rencontres qui ont jalonné ma vie. J’ai cherché à les mettre en mots, à travers des discussions, des lectures, et bien entendu, ma propre réflexion.
Cette quête de «mots pour le dire» est le lot quotidien de tout être humain, qui a un besoin vital de «digérer» tout ce qui lui arrive. Chacun cherche des explications ou des repères pour extérioriser ce qu’il ressent, et l’articuler avec le monde qui l’entoure, pour donner du sens à sa vie.
La philosophie, la psychanalyse et la spiritualité sont des manières parmi d’autres d’y parvenir, car elles donnent un sens à la vie, en donnant un éclairage, en permettant un va-et-vient incessant entre ce qui se passe au-dehors et à l’intérieur de nous. Elles sont parfois difficiles d’accès, souvent supplantées par les manipulations dont nous sommes constamment l’objet de la part des décideurs politiques, des religions ou du monde marchand, grâce à la complicité des médias.
Leurs tentatives d’explication du monde extérieur, voire de mes propres émotions, m’ont souvent mis mal à l’aise, car elles ne me semblent pas correspondre à la réalité, à ma réalité, en tout cas. Au contraire, je sens comme une volonté de nous endormir, de nous maintenir dans un cocon bien confortable pour nous éviter de penser par nous-mêmes et de proposer des alternatives à un système bien établi.
Car ce système ne vise pas le bonheur des humains : il laisse la plupart des gens sur le bord du chemin. Il cherche sans cesse à nous culpabiliser pour mieux nous manipuler. Il est fondé sur un seul message, au fond : si ça ne va pas, c’est la faute de l’Autre. La peur et son corollaire, le jugement, sont ses armes, que les détenteurs du pouvoir de communiquer utilisent pour nous empêcher de nous ouvrir, de changer, de nous «éveiller».
Nous sommes pourtant tous «éveillés» lors de notre enfance. Nous prenons la vie comme elle vient, mûs par notre seul désir et l’excitation de la découverte du monde. Ce désir est le seul repère, authentique mais inconscient, à notre disposition. Mais au fur et à mesure que nous devenons adultes, nous nous laissons glisser dans une sorte de léthargie, dès que nous avons des responsabilités, de l'argent à gérer, du confort matériel, du pouvoir, des relations sexuelles ou professionnelles.
Etre éveillé, c'est ouvrir les yeux sur ce que voient les enfants : la beauté et la poésie de toute chose qui nous entoure, la vérité toute nue de notre âme, la divinité de toute chose, en fait. Et aussi sur l'immense besoin que nous avons d'être aimé et que nous transférons sur nos relations avec les gens et les objets.
Etre éveillé, c'est être assez conscient pour pouvoir se regarder dans un miroir et dire «je t'aime», c'est à tout moment être assez ouvert pour ne pas se juger ni juger les autres, c'est refuser les notions convenues du bien et du mal, c'est être libre, heureux, avec l'envie de vivre et de partager son bonheur, ici et maintenant.
C’est surtout trouver au fond de soi tout ce qu’on aimerait trouver autour de soi. C’est susciter l’ouverture plutôt que le jugement. Bâtir des ponts plutôt que des murs. Créer de l’amour plutôt que de la haine. Car notre pouvoir de création est immense, bien plus qu’on l’imagine.
Dans ce livre, je veux oser, proposer une autre vision de la vie. Je suis loin d’être le seul dans cet exercice, et c’est tant mieux. Chacun est libre de l’exprimer avec ses propres mots. Chaque jour, d’autres voix s’élèvent pour contester la pensée unique et la manipulation des masses. Chacun à sa manière.
J’ai choisi la non-violence, sans pour autant nier que la violence existe, tapie au fond de chacun de nous. Sans pour autant nier que la vie n’est pas toujours une partie de plaisir. Mais l’Amour aussi existe en chacun de nous. Il suffit de l’appeler, de le réveiller, et il est là, éternellement. Prêt à nous conduire, en adultes, sur le chemin du bonheur.
Avant-propos de Divin Quotidien, à paraître en septembre
Cette quête de «mots pour le dire» est le lot quotidien de tout être humain, qui a un besoin vital de «digérer» tout ce qui lui arrive. Chacun cherche des explications ou des repères pour extérioriser ce qu’il ressent, et l’articuler avec le monde qui l’entoure, pour donner du sens à sa vie.
La philosophie, la psychanalyse et la spiritualité sont des manières parmi d’autres d’y parvenir, car elles donnent un sens à la vie, en donnant un éclairage, en permettant un va-et-vient incessant entre ce qui se passe au-dehors et à l’intérieur de nous. Elles sont parfois difficiles d’accès, souvent supplantées par les manipulations dont nous sommes constamment l’objet de la part des décideurs politiques, des religions ou du monde marchand, grâce à la complicité des médias.
Leurs tentatives d’explication du monde extérieur, voire de mes propres émotions, m’ont souvent mis mal à l’aise, car elles ne me semblent pas correspondre à la réalité, à ma réalité, en tout cas. Au contraire, je sens comme une volonté de nous endormir, de nous maintenir dans un cocon bien confortable pour nous éviter de penser par nous-mêmes et de proposer des alternatives à un système bien établi.
Car ce système ne vise pas le bonheur des humains : il laisse la plupart des gens sur le bord du chemin. Il cherche sans cesse à nous culpabiliser pour mieux nous manipuler. Il est fondé sur un seul message, au fond : si ça ne va pas, c’est la faute de l’Autre. La peur et son corollaire, le jugement, sont ses armes, que les détenteurs du pouvoir de communiquer utilisent pour nous empêcher de nous ouvrir, de changer, de nous «éveiller».
Nous sommes pourtant tous «éveillés» lors de notre enfance. Nous prenons la vie comme elle vient, mûs par notre seul désir et l’excitation de la découverte du monde. Ce désir est le seul repère, authentique mais inconscient, à notre disposition. Mais au fur et à mesure que nous devenons adultes, nous nous laissons glisser dans une sorte de léthargie, dès que nous avons des responsabilités, de l'argent à gérer, du confort matériel, du pouvoir, des relations sexuelles ou professionnelles.
Etre éveillé, c'est ouvrir les yeux sur ce que voient les enfants : la beauté et la poésie de toute chose qui nous entoure, la vérité toute nue de notre âme, la divinité de toute chose, en fait. Et aussi sur l'immense besoin que nous avons d'être aimé et que nous transférons sur nos relations avec les gens et les objets.
Etre éveillé, c'est être assez conscient pour pouvoir se regarder dans un miroir et dire «je t'aime», c'est à tout moment être assez ouvert pour ne pas se juger ni juger les autres, c'est refuser les notions convenues du bien et du mal, c'est être libre, heureux, avec l'envie de vivre et de partager son bonheur, ici et maintenant.
C’est surtout trouver au fond de soi tout ce qu’on aimerait trouver autour de soi. C’est susciter l’ouverture plutôt que le jugement. Bâtir des ponts plutôt que des murs. Créer de l’amour plutôt que de la haine. Car notre pouvoir de création est immense, bien plus qu’on l’imagine.
Dans ce livre, je veux oser, proposer une autre vision de la vie. Je suis loin d’être le seul dans cet exercice, et c’est tant mieux. Chacun est libre de l’exprimer avec ses propres mots. Chaque jour, d’autres voix s’élèvent pour contester la pensée unique et la manipulation des masses. Chacun à sa manière.
J’ai choisi la non-violence, sans pour autant nier que la violence existe, tapie au fond de chacun de nous. Sans pour autant nier que la vie n’est pas toujours une partie de plaisir. Mais l’Amour aussi existe en chacun de nous. Il suffit de l’appeler, de le réveiller, et il est là, éternellement. Prêt à nous conduire, en adultes, sur le chemin du bonheur.
Avant-propos de Divin Quotidien, à paraître en septembre
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